Démarche Compétences & Métiers

Gestion des compétences et des metiers

Plus que jamais des Valeurs & du Sens, met l’humain au centre des préoccupations managériales. Avec une Gestion des Compétences et des Métiers, vous vous garantissez une démarche d’évolution et de renouvellement qui correspondent à vos enjeux!

Vous êtes en recherche de temps pour vous, de motivation pour vos équipes, en quête de sens pour votre organisation? Votre quotidien ne vous laisse pas le temps d’y consacrer … du temps? La gestion de crise est constante?

Alors cet accompagnement sera la réponse à toutes ces problématiques, quotidiennes et récurrentes avec une vraie vision d’avenir.

N’hésitez pas à nous solliciter!

Anticiper, pérenniser, sécuriser, l’avenir de vos activités !

Vœux 2019

Vœux 2019

En cette période troublée plus que jamais, sans visibilité, d’un avenir incertain, d’un manque certain de repères, ce rituel social des voeux de début d’année, est un signe que quelques petits événements positifs sont générateurs de liens ou de leur réactivation…

A consommer sans modération!

Je remercie tout un chacun, clients, proches et moins proches pour l’aide et le soutien apportés en 2018.
Je souhaite pleinement réussite personnelle et professionnelle à tous, pour leurs projets 2019, dans leur développement personnel.

Management ? Tout un Art !!!! Part 3…

Management ? Tout un Art!!! Part 3...

Il est clair à la lecture des deux articles précédents, que le management évolue au rythme des changements sociétaux, générationnels, du marché et de nos modes de travail…

Aussi comment peut-on s’adapter ? Le développement personnel de nos compétences humaines semble être une solution.

Le développement de nos capacités humaines, solution d’avenir de la pérennité des entreprises?

Mais la recherche de performance est un faux discours.
Le développement de nos capacités humaines améne à la performance, c’est la conséquence de ce processus… qui peut être accompagné !

Listons les capacités les plus reconnues pour l’avenir de la pratique du management

Elles sont au nombre de 15. Elles sont transversales et bien-sûr, un développement centré sur une ou quelques unes influence les autres.

  • L’orientation solution, la capacité d’améliorer une situation donnée. La capacité de décision, décision avec laquelle on est à l’aise.
  • La confiance en soi, mais aussi en l’autre, en l’avenir.
  • La capacité de prendre du recul, identifier ses émotions et celles des autres pour ne plus les subir mais juste les accueillir pour ce qu’elles sont.
  • La capacité de comprendre la réalité de l’autre sans se polluer des ressentis.
  • Être précis, concis, clair.
  • Apprendre à identifier les tâches qui demandent le plus de temps, et entreprendre des actions pour ne plus subir, ne pas démultiplier ses tâches.
  • Éviter la fatigue, afin d’être le plus efficient possible.
  • Capacité à établir des relations entre les choses, les idées, les gens pour faire émerger des innovations / solutions.
  • Être dans une dynamique positive, être orienté solution et client, proactif et audacieux.
  • C’est la capacité d’oser, tenter quelque chose de nouveau, être force de proposition.
  • C’est en trouver comme d’en donner.
  • C’est donner un sens au delà de la tâche à réaliser.
  • C’est aussi être capable de mesurer ce que cela apporte par rapport à l’énergie à dépenser…
  • C’est la capacité à voir le chemin pour arriver aux objectifs.
  • C’est savoir en percevoir le détail comme la vue d’ensemble !
  • Apprendre à être présent physiquement et mentalement.
  • Savoir qu’effectivement à plusieurs on va plus loin…
  • Apprendre de nouvelles choses, et aussi des autres et de soi.

Durant des centaines d’années, l’Humanité n’a eu de cesse d’améliorer son confort matériel,
il est peut-être temps de s’occuper de Nous… pour ceux qui le désirent !!!

Pourquoi est-il nécessaire de d’apprendre à développer nos capacités ?

Je liste_ tu comprends

L’évolution de la société, avec l’augmentation de la robotisation, l’automatisation, la pénétrante arrivée de l’Intelligence artificielle dans notre quotidien, l’omniprésence d’Internet et des objets connectés, notre facilité déconcertante parfois, d’accès à l’information, a profondément modifié notre perception de ce qui nous entoure.
Il en est de même pour nos repères personnels, sans cesse sollicités au changement, et au mouvement continu des tendances.

Si l’entreprise est bien humaine, il faut désormais miser sur … l’Humain et ses capacités qui lui permettent de s’adapter à la découverte de nouveaux espaces d’expression.

Voici quelques bonnes raisons… :

  • Pouvoir se développer dans le respect de ses valeurs profondes :
    • L’affirmation de soi, c’est votre puissance personnelle. Le courage, l’estime de soi, la confiance en soi…
    • La démonstration de soi, c’est-à-dire l’accomplissement … atteindre ses objectifs, conduire ses projets, travailler.
    • Le partage de soi, l’intimité, aimer, lier, entretenir des relations, se sentir proche…
    • L’expression de soi, la créativité, le jeu…
    • L’intégration de soi, la recherche de sens, d’intégrité, de la paix, de la relation intérieure au monde,
    • Le don de soi, la compassion, la contribution. Améliorer, aider, nourrir, transmettre, réformer.
  • Afin de créer et mettre en œuvre sa propre stratégie de réussite, pour soi et aussi pour l’organisation dans laquelle on travaille.
  • Notre recherche d’accomplissement personnel dans le travail mais aussi dans nos contextes plus personnels.

Et vous voyez à quel point ces valeurs sont liées à nos capacités ?

 
 
 
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Fonction Sound est limitée à 200 caractères

Sommes-nous tous égaux
concernant nos potentiels d’évolution ?

Eh bien non ! Pourquoi ?

Chacun a son histoire, dans son contexte social, familial, économique.
L’éducation, lors de notre enfance, impose aussi certains formats de comportements et de schémas de pensées.
Tout cela compose un environnement de départ bien différent pour chacun.

Chacun est libre de développer une ou plusieurs compétences comportementales, en fonction de ses besoins ou de ses aspirations. (Cela aura de toute façon une influence sur les autres)

Et se développer c’est aussi changer…Et que provoque le changement ?

Une autre vision, mais aussi une autre perception, une plus grande profondeur de champs et en même temps une meilleure compréhension des conséquences des actions.

 Ce sont ces cycles qui permettent de construire un nouvel équilibre, en accord avec ses valeurs et ses aspirations.

Et nous avons de la chance, car étant tous humains, nous avons potentiellement toutes les chances de développer nos capacités par un entraînement adéquat.

Dans le monde professionnel,
quels avantages pour une entreprise ?

Le renforcement ou le développement des capacités des membres d’une organisation l’enrichissent forcément et ont une influence intéressante en termes de performance.
Une meilleure ambiance de travail constructive, valorisante, dans une organisation qui donne du sens, ce sont des collaborateurs fidèles, proactifs et responsables.

C’est aussi une meilleure communication de ce qu’est l’entreprise non seulement vers les clients, les fournisseurs et les partenaires, mais aussi vers les futurs collaborateurs.

Avec une meilleure compréhension de ce qu’est l’entreprise, la collaboration est nettement plus fructueuse, à l’écoute de tous, de toutes les idées. Les membres de l’organisation perçoivent aussi mieux les incidences et conséquences des actions menées.

Autant d’aspects fertiles et facilitateurs à la mise en place d’un management collaboratif et porteur de sens.

Mieux comprendre son environnement, c’est s’ouvrir à d’autres possibilités, d’autres choix pour lesquels il est nécessaire de prendre conscience des conséquences sur son existence…  tout en se respectant.

Mais comment faire?

Plusieurs possibilités … et quelques prérequis!

Les pré-requis

Comme tout acte de développement, un changement s’opère.
Et donc pour débuter, il est nécessaire d’en mesurer l’urgence et de partager.
Ensuite il faut être capable de s’écouter, de prendre du recul, afin de prendre conscience de ce qui est nécessaire de développer pour améliorer sa performance ou son bien-être.

Les possibilités

Elles sont nombreuses dans leurs variantes, mais globalement, l’accompagnement prime, car favorisant la prise d’autonomie pour son propre développement.
Alternant phase de réflexion et d’actions, en groupe ou individuel, ces processus permettent par leur rigueur et leur précision, aux membres de l’organisation d’identifier leurs forces et les points d’amélioration. Ce partage réflexif, fait forcément émerger des besoins, des axes de développement.

Ne pas négliger…

Toutefois attention, la démarche de développement d’une personne ne peut être que volontaire et assumée. Elle est liée à une dynamique de sens…pour elle.
Les gains personnels seront forcément positifs, après une reconstruction nécessaire au bouclage du processus.
Mais pour l’entreprise, une prise de conscience découlant du développement des capacités peut aussi mettre en avant un désaccord avec ce que représente l’entreprise.

C’est le résultat d’un choix, et c’est le risque de la démarche!

Mais en réfléchissant un peu, tout le monde y trouve son compte (en dehors de toute polémique), l’entreprise qui ne peut avoir dans ses équipes, une opposition systématique, le manager qui ne pourra pas à plus ou moins long terme rester travailler dans un environnement dont les valeurs sont antagonistes aux siennes, avec tous les risques que cela peut comporter.

Vous voulez établir votre plan d’actions de développement des capacités humaines ? et arriver à créer une émulation, ou un second souffle?
des Valeurs & du Sens vous accompagnent dans votre projet.

Alors Osez, c’est à votre portée, et comme nous l’avions déjà abordé dans les articles précédents, c’est aussi un élément différenciant et attirant…

Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!

Management ? Tout un Art !!!! Part 2…

Management ? Tout un Art!!! Part 2...

Suite logique de notre précédent article : des techniques éprouvées, de nouvelles à mettre en œuvre, le tout sur fond d’une démarche philosophique… un mélange détonnant pour une performance durable et humaniste qui laisse la place à l’innovation.

Management Situationnel 2.0 – La technique au service des Valeurs & du Sens

Nous l’avons vu dans un article précédent, le management évolue. Le rôle du manager est passé à une fonction enrichie d’une posture. Pourtant les techniques restent utiles dans les différents contextes de vie en entreprise.

Techniques qu’il va falloir employer au service du Sens et en s’appuyant sur les valeurs de l’entreprise.

Rapide tour d’horizon vers un management adapté aux situations et aux contextes dans l’entreprise.

Le management situationnel modélise la construction ou le renforcement de l’autonomie à partir de 3 axes :

  • le cadre de la situation c’est-à-dire le contexte,
  • la compétence, et
  • la motivation.

Dans le contexte, nous trouvons des notions de missions, d’objectifs et de délais, mais aussi d’environnement, d’écologie.

Dans la compétence, se logent les savoirs, le savoir-être et le savoir-faire.

Et enfin, la motivation c’est-à-dire le niveau d’énergie que la personne est prête à donner et à investir dans son travail, dans la situation ou dans le contexte.

 

Le contexte, les compétences, la motivation, les 3 piliers de l’autonomie ?!

Les différents types de management, du modèle directif au modèle collaboratif

savoir-faire

Du modèle directif

Le manager prend les décisions, organise, planifie et contrôle beaucoup. On demande aux collaborateurs de respecter strictement les consignes et le cadre défini. Il n’existe pas de prise d’initiative, pas d’autonomie si ce n’est dans le strict contexte de fonction, et des méthodes imposées.
Les interlocuteurs du manager, n’ont pas les connaissances requises, se sentent perdus, ont besoin d’aide, ou ont besoin d’être recadrés.
L’organisation est très structurée, très procédurale, et peut être très influencée par l’empreinte de la personnalité du dirigeant ou des managers.

Modèle Persuasif

L’autonomie est faible. Les compétences sont faibles ou fortes, la motivation est potentiellement forte. Il y a nécessité de mobiliser les collaborateurs pour la réalisation de l’objectif.
Le management persuasif doit permettre de faire adhérer à l’idée du manager, à la tâche. Il faut que les objectifs soient compris, que les consignes soient admises et appliquées.
En général les interlocuteurs ont besoin d’être sensibilisés à une nouvelle approche ou à une décision, d’être recentrés sur un sujet tout en les motivant ou d’être félicités pour prendre conscience de leurs réussites.

Et il y en a d’autres…

Modèle Participatif

L’autonomie est modérée, voir forte sur certains sujets. Le management participatif, est mis en action pour associer la plus-value de chaque collaborateur à l’activité.
Ainsi l’implication de chaque collaborateur est primordiale, pour bénéficier de l’apport de chacun, développer l’esprit d’initiative et faire prendre des initiatives.

Modèle Délégatif

L’autonomie est forte, construite sur de solides compétences, et une très forte motivation. Dans un contexte fort de responsabilisation, les collaborateurs, ont besoin de se sentir reconnus, ont besoin de grandir, et de prendre des risques. Leurs attentes sont prises en compte.

Modèle Mixte Idéal

La dominante idéale, est bien sûr un mélange des quatre précédents types de management c’est à dire l’absence de dominante qui manifeste la capacité à jouer de tous les styles lorsque la situation commande de le faire. L’art du manager (et du coup c’est bien un art) est bien entendu d’adopter le style de management le plus approprié à la situation.

Pratiqué avec bienveillance et pour le développement de l’autonomie des interlocuteurs, le Mixte Idéal permet d’augmenter la maturité des équipes, amène une prise de conscience du rôle de chacun, des compétences de chacun, des conséquences des actions sur l’ensemble de l’organisation, de son positionnement par rapport aux clients, et de sa contribution à leur satisfaction….

Le Mixte Idéal est déjà un indicateur de bonnes relations, d’un management porteur de sens et aussi d’une bonne maturité organisationnelle.
La performance est très souvent au rendez-vous !!

L’évolution actuelle…

Au Modèle collaboratif – l’ensemble est le management situationnel 2.0

Le passage au modèle collaboratif peut être une évolution du modèle mixte idéal.
Les collaborateurs participent activement à la définition et à la réalisation des objectifs.
Le management a plus un rôle consultatif, référant fonctionnel, opérationnel, c’est désormais une posture.
Les collaborateurs ont compris que son rôle est d’assurer les prises de décision en dernier recours, de donner les axes de développement, d’influencer sur les comportements, les réactions.
Les prises d’initiatives, les décisions peuvent se prendre en « local ».

L’organisation est composée d’éléments matures, en termes de compétences, de vision, d’anticipation.

L’appropriation de la stratégie d’entreprise, la compréhension des conséquences suite aux actions, est intégrée dans la culture .
Le client est placé au centre des préoccupations, dans le respect de la pérennité de l’entreprise.
Le management définit les axes stratégiques, qui peuvent être optimisés et mis à jour de manière collaborative.

C’est une véritable rupture culturelle au sein des entreprises. La notion et le rapport au pouvoir évoluent, les Valeurs aussi.

Le manager peut se sentir désorienté ou lésé, s’il fonctionnait suivant un modèle différent auparavant, et que le changement s’opère sans accompagnement ne permettant d’en conscientiser le nouveau Sens.

Une rupture appelle une transition. Pour la passer dans les meilleures conditions possibles, un accompagnement des managers est nécessaire, afin qu’ils trouvent une nouvelle place dans l’organisation, avec un nouveau Sens à leur travail.

Comment faire évoluer sa politique managériale

Le management situationnel s’applique en fonction des situations au quotidien et des contextes : transformations, développement de produits, gestion de crise; mais aussi de la maturité des organisations et des individus.

Alors qu’entend-on par maturité dans le monde de l’entreprise ?

La maturité est une notion liée à la performance. Elle peut s’évaluer de différentes manières, généralement, en définissant des critères comme le type de management le plus couramment utilisé, le type de réactions individuelles ou d’équipes, les travaux collaboratifs, l’implication dans la vie au travail etc.

La Performance globale et durable répond à un triptyque voir ci-contre.

Nous remarquons ici, bien évidemment, que le renforcement de la maturité d’une organisation permet d’optimiser Efficacité, Efficience, et Pertinence… et que cela ne dépend pas uniquement des techniques employées mais aussi à la démarche sur lesquelles elles s’inscrivent!!

De manière analogue, un système de management inclut la politique managériale, les objectifs et des processus managériaux qui sont : Piloter la stratégie, gérer l’organisation, piloter l’opérationnel. D’autres aspects à prendre en compte…pour définir ce que sont les Valeurs et le Sens…

Une évolution ne pourra se s’accomplir que si elle s’appuie sur un développement des capacités humaines des managers et des équipes… et aussi du dirigeant.

S’ouvrir à d’autres ressentis, se construire une autre vision, décider de faire différemment, voilà le résultat de l’émergence de ces capacités nouvelles dans l’organisation, suscitée par une meilleure connaissance de soi et de son environnement, en tant qu’individu, mais aussi en tant qu’équipe…

Alors s’il vous manque un de ces aspects, eh bien, c’est qu’il y a encore du travail… Si vous voulez optimiser votre management, développer votre propre version humaniste et performante, des Valeurs & du Sens vous accompagnent dans votre projet.

Si vous avez l’Idée, nous vous aiderons à construire et mettre en place votre nouvelle politique managériale, et à aider vos managers et vos équipes dans cette rupture culturelle…

Alors Osez, c’est à votre portée, et comme nous l’avions déjà abordé dans un article précédent, c’est aussi un élément différenciant et attirant…

Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!

Management ? Tout un Art !!!!

Management ? Tout un Art!!!

Bien loin de sa définition académique, le management est désormais considéré comme une pratique, un art qui correctement réalisé, concourt, à partir d’un mélange plus ou moins hétérogène de cultures, de compétences et de personnalités, à l’atteinte d’un résultat satisfaisant.

C’est avant tout, la mise en œuvre de capacités humaines, dans un but et des objectifs précis. C’est donc une pratique nativement porteuse de sens, qui se doit d’être alignée avec la stratégie d’entreprise, son identité, ses valeurs, son organisation. Et à ce titre, elle fait partie intégrante de sa culture.

Mais en fait, en quoi consiste le Management?

C’est une pratique qui consiste à mettre en œuvre les ressources de l’entreprise de la manière la plus efficiente possible pour la réalisation de ses objectifs et la satisfaction de ses clients au sein d’une organisation donnée.

Nous en détaillerons les types les plus courants dans un autre article. Mais l’évolution sociétale, impose là aussi des modifications de pratiques dans le rôle, la posture et la constitution d’une politique managériale sans oublier qu’elles doivent avant tout être au service de l’entreprise (actionnaires, fondateurs etc.), de ses collaborateurs et de ses clients.

La dimension humaniste et de sens garantit que cela reste bien une entreprise composée d’hommes et de femmes, intégrée dans une société… humaine.

La dimension humaniste et de sens garantit que cela reste bien une entreprise … humaine.

le management, l’art des relations humaines dans l’entreprise.

savoir-etre

Nous envisageons souvent le management, responsable, authentique, respectueux, clair et direct, participatif ou délégatif, tendant fortement sur le mixte idéal, première ouverture aux richesses du management collaboratif.

Mais nous le verrons, le rôle de manager a principalement une dimension adaptative. Cela devient une posture, d’où l’intérêt d’un développement des capacités humaines nécessaires à l’efficience globale de l’organisation.

Ainsi, nous pouvons considérer le management comme l’art des relations humaines dans l’entreprise, dans la réalisation des objectifs et l’adaptation continue des organisations.

L’Humain se doit d’être au centre des préoccupations des entreprises. Au-delà de la technicité de l’ingénierie organisationnelle, il apparait nécessaire, d’expliquer et de partager un certain nombre d’éléments, afin de permettre à chacun de comprendre les enjeux, de visualiser la finalité. Il est essentiel de les accompagner dans la compréhension de leur positionnement et de leur rôle dans le changement et dans la future organisation.

L’annonce brutale de visions éventuelles, de scénarios alternatifs dès le début d’un processus de changement a pour effet direct une montée de l’inquiétude et des réactions plutôt négatives pour la suite du sujet. Ainsi le manager qui croit maitriser une telle situation, met son activité en difficulté. Et perdurer dans cette voie, n’augure pas d’une bonne stabilité des équipes. Ce cheminement met à mal leur fiabilité pour le quotidien comme pour la transformation à venir. Cela laissera forcément des traces qui seront difficiles à gommer.

Et le manager dans tout cela?

Une évolution nécessaire

Le manager, dans sa définition a une posture de « point de référence », dans une entreprise de culture traditionnelle. Les collaborateurs ont beaucoup d’attentes, même si elles s’expriment très différemment. Car dans le contexte véritable de la vie en entreprise, le manager, est positionné entre direction et collaborateurs. Tout en demeurant très proche du terrain, sa mission principale est de traduire la stratégie d’entreprise en plans d’actions opérationnelles.

Ainsi il existe une dualité entre les valeurs portées par le « milieu » des managers, les convenances – « le politiquement correct » -, la politique managériale, la culture d’entreprise, et celles humanistes, que les collaborateurs (parfois aussi des managers) demandent désormais à être respectées au sein des organisations.

Il est donc « coincé » entre les axes stratégiques, les demandes, les besoins de la hiérarchie, des collaborateurs, des clients, des fournisseurs s’il y est exposé dans sa fonction… Très facile parfois de céder à l’agitation permanente, aux conflits d’intérêts, en raison des interactions de l’entité, ou simplement dû aux égos, à la relation qu’à l’environnement avec le pouvoir.

Identifier ou trouver dans son quotidien des comportements qui permettent de prendre du recul, de lâcher prise, de conscientiser les contextes, les réactions des autres et d’accueillir les siennes propres sont autant de prises de conscience qui prouvent l’utilité d’un accompagnement et d’un travail sur soi!

Bienveillance vs Influence; un équilibre stratégique à construire

Pour garantir la réalisation de ses objectifs, et avec cette forte obligation de réalisation dans un temps très court, le manager doit souvent user de persuasion, avec tout le panel d’outils qu’il a appris, en dosant influence et bienveillance en fonction de ses valeurs, voire son éthique personnelle et de ses compétences.

Et comme très souvent, ne pouvant être à la fois pilote et accompagnateur, l’influence prend le pas sur la bienveillance, en réaction à la pression hiérarchique, des KPIs et autres moyens de mesure « qualitatifs », et le management oscille très souvent entre collaboratif et directif…

Notre société actuelle permet un accès plus facile à l’information, à la connaissance, à une ouverture au monde, et permet aussi d’exprimer plus d’attentes personnelles dans sa propre réalisation. Ainsi certaines valeurs humanistes font parties intégrantes de l’usage des compétences et de leur développement. Présentes à tous les niveaux de l’organisation, ces attentes personnelles et professionnelles influencent l’organisation entière, et auto-régulent aussi ses évolutions.

Le manager doit donc imaginer des stratégies de réussite pour construire son mode de  management qui lui permet un pilotage efficient de son organisation.

Bienveillance et Influence, que choisir? Une éthique personnelle et une culture d’entreprise humaniste apporte bien souvent la réponse…

Un passage obligé…?

Alors quelles évolutions pour le manager ?

Eh bien la tendance du moment est de développer une vision managériale abondant dans le sens d’obtenir des managers-coach. Je l’ai expliqué, influence vs bienveillance, les objectifs dans des environnements complexes et changeants, influencent fortement les comportements du manager. Alors c’est là, toute la richesse du management situationnel, qui permet de s’adapter aux différentes circonstances et évolutions de l’entreprise que l’on rencontre.

Mais que faut-il développer de plus ?

Pour ma part, avant de faire évoluer uniquement des organisations, il faut anticiper par le développement des capacités humaines des managers et de leurs équipes. Il faut donc viser un management enrichi de l’aspect inter-relationnel, inter-décisionnel, et faire preuve de détermination, de curiosité, et se permettre d’envisager de faire autrement… De plus comme tout travail inter-relationnel, il n’y a pas de méthode « prête à l’emploi » sauf celle que vous êtes capable de développer par vous-même, avec votre environnement, en faisant preuve d’innovation managériale.

Dans notre société très changeante, la priorité serait de faire développer les capacités humaines des managers et au travers celles des équipes, car l’avenir des organisations est lié à leur capacité d’adaptation.  S’adapter aux évolutions sociétales semble bien désormais un passage obligé, pour éviter systématiquement de travailler en réaction!!

Alors grâce à quoi s’adapter ?

Pour développer sa capacité d’adaptation, il semble que la vision et la compréhension de son environnement soit nécessaire. Pour avoir une objectivité suffisante, il faut avoir la connaissance de ses propres « filtres », leurs forces, leurs faiblesses.

Cela passe par la connaissance de Soi !

Ainsi, un certain nombre de capacités humaines semblent faire l’objet d’un regard particulier.

Nous en reparlerons dans un prochain article plus en détail, en voici quelques-unes qui pourraient paraître essentielles :

  • L’intelligence émotionnelle, reconnaître ses émotions et celle des autres pour éviter de les subir…
  • L’empathie, comprendre ce que l’autre ressent, perçoit… avec objectivité et prise de recul, sans jugement…
  • La créativité, trouver les liens entre différents aspects pour développer un nouveau concept…
  • L’audace aussi… 

Ainsi sans théorie préconçue bien cadrée qui serait difficile à accepter, managers et dirigeants ! faites confiance à votre capacité de décider du meilleur mode de management adapté à votre marché et vos clients. Aligné avec la culture d’entreprise, diffusé auprès de vos équipes, il peut faciliter l’émergence de modes de fonctionnement différents…

Oser surprendre et assumer ses rêves, en tout connaissance de causes et de conséquences, montre une maturité et une assurance qui sont des critères différenciants et attirants sur un marché concurrentiel.

Des Valeurs & du Sens accompagnent les managers, les dirigeants et les organisations dans cette démarche. Nous vous aidons à établir votre plan d’actions pour développer votre meilleur mode de management.

Nous vous accompagnons pour optimiser, synchroniser votre posture en rapport avec vos exigences et votre marché…et vos équipes. Vous faites ainsi progresser votre entreprise pour aboutir à la satisfaction de vos clients.

 Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!

Le coaching sur Radio Gâtine

Le coaching sur Radio Gâtine

Il y a quelques mois , j’étais l’invité de l’émission Les Pipelettes de Radio Gâtine sur le thème du coaching.

Un bon moment , une prise de parole authentique, sans amalgame, sur le métier de coach, si rare dans les médias.

Bonne écoute… et un grand merci à Annick Bonin et ses Pipelettes Mireille et Michelle !

Émission Les pipelettes – Radio Gâtine

Organisation – Changement : Transformation!

Organisation - Changement : Transformation !!!

Qui veut le changement ?  NOUS !! NOUS !!! en bref tout le monde !
« Alors qui est prêt à changer ? »    Bzzzzzzzz !!! » Seules les mouches répondent !!!

Le changement ! des mots pour une excuse et une excuse pour bien des maux…

Mais c’est très souvent oublier sa dimension naturelle et nécessaire pour nous adapter à notre environnement. Liés au développement de nos capacités humaines, ce sont aussi des événements qui nécessitent un accompagnement certain… et une bonne préparation, avant la mise en action pour en faire une réussite!

Mais qu’est-ce que le changement ?

C’est un processus de transformation, fondé par la prise de conscience d’un écart, entre ce qu’une organisation est capable de produire et ce qu’elle obtient comme résultat.

Les équilibres ne sont plus respectés. La satisfaction n’est plus là.

En fonction de sa nature et de ses propriétés, il est nécessaire de démarrer un processus. A son terme, il aura modifié la structuration de l’organisation en faisant peut-être émerger de nouvelles propriétés, de nouvelles capacités. Il apportera ainsi les réponses adéquates et satisfaisantes. On le définit généralement cyclique, continu.

Pour beaucoup dans l’entreprise, c’est aussi l’opportunité d’améliorer la politique managériale, d’intégrer des nouveaux concepts, de fédérer et d’impliquer les équipes, de développer une vision ensemble. Et en définissant des objectifs communs, les comportements se modifient et permettent de travailler de manière collective.

Désormais, les modifications profondes de notre société, la complexité grandissante, se réalisent en même temps que l’évolution de notre vision et notre compréhension du monde qui nous entoure. Le changement est simplement – et depuis toujours – un processus de reconnexion au monde.

Le changement est un travail de fond, et d’adaptation au monde.

Mais après une telle définition,
sommes-nous tous prêts à changer?

savoir-etre

Ayant procédé à de nombreuses transformations en entreprise, j’ai eu l’occasion de vivre toutes sortes de situations, du déni à l’acceptation active et motrice en passant par la colère, le rejet, l’acceptation passive.

Toutes ces réactions sont naturelles !

Il faut donc accepter et reconnaitre les extériorisations plutôt violentes, tout comme les attitudes très (trop) discrètes, ces signaux bas, qui pour un travail sur une équipe, restent aussi importantes que les autres comportements. Ces résistances au changement sont à intégrer dans le projet, dans l’analyse de risques. Elles seront à gérer durant toute la transformation, au risque sinon, devant de trop nombreuses désaffections, d’obtenir une situation d’échec!
Et ce n’est guère l’objectif du changement !

Comment alors procéder avec cette population d’acteurs (les pro-actifs, les passifs, les opposants),  à une transformation dans les meilleures conditions possibles ?

Ce n’est pas forcément qu’un problème de communication, ou de management. Il faut mettre en œuvre autant d’outils, de méthodes, de pratiques et surtout d’accompagnement qu’il y a potentiellement de situations différentes. Le mot-clef est « adaptation » car là aussi, créativité et innovation sont de mise. Cela peut se traduire par exemple par des ateliers d’échange de pratique, de cohésion, de créativité.

Un pragmatisme au bénéfice de la satisfaction

Pour une organisation, une transformation débute toujours par un questionnement et un apprentissage le plus factuel et pragmatique possible. Il faut connaître parfaitement ce que l’on fait et ce que l’on est, et pourquoi on le fait pour imaginer la passerelle entre présent et futur – proche…

Et il ne faut pas hésiter à élargir son champ d’investigation, par exemple: sur une refonte de la production, étendre sa vision sur les fournisseurs et les clients ; sur une évolution de la politique managériale, identifier et intégrer les acteurs des domaines médicaux et de la formation ou même des universitaires.

Cela reste bien sûr des exemples car un changement quel qu’il soit, nécessite une prise de recul, la construction d’une stratégie spécifique. L’état des lieux, l’investigation, la recherche de solutions, l’identification des ressources, des obstacles permettent ainsi de se préparer au mieux pour l’innovation, en développant des facteurs différenciants sur son marché pour la satisfaction de ces clients … et de ses équipes!

Et c’est aussi dans la stratégie du changement qu’il faut s’adapter au présent et au futur, pour faire de son déploiement, une réussite.

Recul – Apprentissages – Actions

Une situation de changement est avant tout une façon d’apprendre pleinement et précisément le travail que l’on fait, de conscientiser son rôle dans l’organisation et le rôle des autres. Cela met en évidence les aspects inter-relationnels, et les interactions des différentes parties prenantes.

De cette connaissance, dont le partage est vital, émergent des stratégies de résolutions des problématiques les plus courantes mais aussi une compréhension plus intime de l’organisation pour les managers et leurs collaborateurs. Les obstacles sont ainsi plus aisément et pleinement identifiés, les risques et impacts évalués. Les critères de réussite, contribuant au bon pilotage de projet, sont alors définis… ensemble.

Ce partage est le premier pas vers un développement de l’intelligence collective ! Avec un travail sur les fondements de l’organisation, ses Valeurs identifiées et partagées, permettent de donner du sens à l’organisation du futur.
Axées sur la stratégie d’entreprise, et en s’appuyant sur la politique managériale, le plan d’actions mené, en plus de progresser dans le projet de transformation, renforce cohésion & implication des équipes,  fédération autour des objectifs.
Visible à tous les niveaux d’échanges entre parties prenantes , cette évolution validée par les critères de réussite, permet d’aboutir à une relation satisfait-satisfait.
 
Cette transformation a un impact direct sur la culture d’entreprise. La perception extérieure de ce que l’entreprise peut représenter, sera désormais différente.

Ce travail clarifie les objectifs, donne la vision de ce que sera l’entreprise de demain. Il permet aussi à chacun de trouver sa place dans ce futur, valorisé par la connaissance nouvelle qu’il a obtenu sur le rôle des uns et des autres, et aussi par la connaissance qu’ont les autres de son rôle dans son entreprise.

Cette cohésion, ses interrelations ainsi que la visible interdépendance entre les différents acteurs permet de renforcer la représentation partagée de l’identité de l’entreprise chez chacun d’eux.

Une bonne chose qui donne du Sens !

Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!

Voeux 2018

Vœux 2018

Cette période de début d’année en plus d’être consacrée aux vœux, l’est aussi pour les remerciements.

Je remercie tout un chacun, clients, proches et moins proches pour l’aide et le soutien apportés en 2017.
Et je remercie ceux qui me font et feront confiance cette année 2018, pour les accompagner dans leur démarche de développement…

La Quête de Sens

La Quête de Sens​

Que ce soit dans un contexte professionnel, associatif ou personnel, beaucoup, à un moment ou l’autre de leur vie, peuvent perdre pied. Des moments d’errance qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses, sauf si l’on perçoit la capacité d’appui du développement personnel au service du Sens.

De la prise de recul à la conscientisation …

Qui ne s’est pas dit un jour en un éclair de lucidité : “ pour quelle raison je fais cela, ou pour quelle raison me demande-t-on de réaliser cette tâche ?”. Ces questions parmi tant d’autres versions que chacun d’entre nous se posent un jour dans son existence, sont en partie révélatrices du manque de communication réelle et essentielle pour la compréhension de ses objectifs, qu’ils soient professionnels ou personnels.
 
Sans clarté, sans réelle compréhension éclairée, un objectif perd de son sens. Le comportement devient passif voir automatique, ne réagissant aux sollicitations que pour maintenir sa zone de confort. Zone d’ailleurs, qui finit par se décaler de plus en plus par rapport à la réalité commune perçue et l’isolement guette !
 
La personne perd peu à peu la conscience d’elle-même, va de plus en plus faire partie du décor au mieux ou entretenir un état d’enfermement. Ce sera forcément perçu comme inquiétant pour son entourage. C’est un cercle vicieux qui s’auto-entretient, qui ne peut que perdurer s’il n’est pas rompu.
 
Au sein d’une équipe, d’une entreprise ou même dans son cercle personnel, cela favorise les incompréhensions, les discordes, les discussions non constructives, la procrastination, les atermoiements de toutes sortes… . Cela génère sentiment d’insatisfaction, de frustration… rien de positif !!. Chacun, restant sur sa perception du moment, il devient difficile de partager. Si la situation est ancienne, même la reconquête d’un processus de communication, d’échange devient difficile.

Sans clarté, sans réelle compréhension éclairée, un objectif perd de son sens.

La Quête de Sens, un processus naturel !!!.

Questionnement 1

Cette quête est présente tout au long de la longue histoire de l’Humanité. Plus récemment dans notre histoire, les croyances religieuses, puis le bien matériel, l’individualisme, pouvaient être des valeurs donnant du sens à nos existences.

L’Homme s’est toujours interrogé sur la place qu’il pouvait avoir dans son environnement (au sens large !). Mais désormais, le rythme de nos existences, l’immédiateté, l’omniprésence de processus de marketing dans toutes nos parts d’existence, peuvent engendrer des décalages entre notre nature profonde, notre identité, ce que nous sommes vraiment et ce que l’on nous impose comme représentation du monde qui nous entoure.

Alors après ce constat, quoi faire ?

Nous voyons, que la perte de substance identitaire, les comportements non constructifs, l’incompréhension de ce pourquoi l’on agit, peuvent occasionner un certain mal-être. On le vit tous, un temps, au fil de notre vie.
Il faut donc (re)construire son écosystème, en limitant les contraintes et en respectant ce que l’on est et ce que sont les autres. Et comme toute bonne construction, nous commençons par les fondations, les fondements.
 
Fondamentaux, valeurs, besoins essentiels traduisent ce qui est nécessaire de nourrir pour son équilibre personnel. Objectifs, buts sont les projections des actions que l’on souhaite réaliser pour se trouver dans un cadre de vie plus en adéquation avec ses fondamentaux.

Tout cela concourt à se nourrir et à donner du sens à sa vie.

Il faut donc (re)construire son écosystème, en limitant les contraintes et en respectant ce que l’on est et ce que sont les autres.

Stratégie & management pour notre humanité partagée…

De manière très analogue, dans le monde du travail, l’écosystème prend en compte les dimensions stratégiques, politiques et humaines. Les fondements de l’entreprise, sa stratégie, ses objectifs, transmis par le dirigeant et relayés par les managers, la politique managériale cadrant la mise en place de cette stratégie, sont primordiaux pour maintenir et développer le lien entre les hommes et les femmes de l’entreprise et, l’entreprise mais aussi de façon systémique, les autres organisations interdépendantes.
 
C’est donc sur la culture d’entreprise en s’appuyant sur la construction identitaire, que la politique managériale doit agir pour favoriser la maturité de l’organisation, que l’intelligence collective puisse permettre l’émergence et le développement de nouvelles capacités et faciliter le développement des personnes au sein de leur organisation.

C’est un fort levier de motivation des équipes, qu’il faut voir comme la capacité à mettre en œuvre l’énergie que chacun possède, dans la réalisation d’actions, dans un but commun et partagé.
 
Si dans la réalisation de son travail, dans ce que l’on vit, fait, échange avec les autres, nous trouvons du sens, seulement alors tout est possible!! La réalisation des projets de développements, de diversifications, de transformations ne sont plus subis, mais gérés, voire même devancés lorsque la maturité organisationnelle est telle que chacun codéveloppe la même vision d’entreprise (et même entrepreneuriale) et connait les conséquences de chaque action… ou non-action.
 
Un des bénéfices d’un management par les Valeurs & le Sens.
Cette redynamisation est possible ! Beaucoup décident de se (re) mettre en action, et ce sont des processus qui peuvent être longs. Toutefois si ceux-ci sont exécutés de manière continue, l’anticipation du changement devient naturelle. Il se développe alors la vision globale & partagée, stratégique & managériale, de ce que l’entreprise doit être et sera.
Plutôt rassurant comme démarche, et je pense à tous ceux dont le quotidien ne les satisfait pas au travail….

 

Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!

Le coaching – Une profession passionnante, authentique, bien loin du sensationnalisme

Le coaching - Une profession passionnante, authentique, bien loin du sensationnalisme

Bien souvent lors de rencontres diverses et variées, nous autres coaches avons à définir ce qu’est notre métier…

Promouvoir notre métier, son professionnalisme, son sérieux, tout en mettant en avant sa nature bienveillante et authentique, respectueuse et sans jugement, permet aussi de comprendre, pour ceux qui nous interrogent, à quel point notre ancrage profond dans notre humanité partagée est une valeur qui donne tout son sens à ce métier passionnant.

Mais dis-moi c’est quoi le coaching… ?

Eh bien, loin de ce que présentent les médias, le coaching, ne s’apparente pas du tout à du conseil, pour s’habiller, ranger son appartement et encore moins à de la thérapie, bien que ce métier se base sur des méthodes, outils et enseignements des Sciences Humaines.
 
Le coaching met en œuvre chez le client, dans un premier temps, toutes les capacités conscientes ou non, afin de déterminer au cours du processus, ce qui est important pour lui, ce qu’il peut mettre en œuvre comme ressources, pour déterminer et clarifier sa demande et définir ses objectifs. Durant ce processus, le client comprend et conscientise ce qu’il est, où il se situe, ce qu’il est et sera capable de faire, ce qu’il désire faire afin d’arriver à son accomplissement personnel.
 
C’est une approche innovante, centrée sur l’atteinte des objectifs, en prenant une posture de leader de soi-même, en développant sa propre stratégie de réussite. La mission du coach est d’apprendre à apprendre. Le client va donc apprendre par l’action, l’approfondissement de sa réflexion dynamisé par le questionnement et l’échange avec son coach, et aussi par la résolution de son plan d’actions, d’objectifs intermédiaires clarifié par son travail, vers cette finalité fixée par lui-même.
 
C’est un travail qui permet la conscientisation mais aussi l’émergence de nouvelles capacités, ou de comportements plus adaptés aux situations vécues ou à venir, ou au projet du client.
C’est une approche innovante, centrée sur l’atteinte des objectifs, en prenant une posture de leader de soi-même, en développant sa propre stratégie de réussite.

Oh tu sais, moi je suis « incoachable » !
Mais dans quel cas, se faire
accompagner ?

Oui très certainement, là à l’instant présent, dans cette situation bien précise ou à ce moment de ta vie, où tout semble bien se dérouler, tu te sens bien…et donc pas de nécessité de se faire accompagner !!?
 
Seulement voilà, une rupture dans sa vie personnelle, ou professionnelle, un ressenti d’insatisfaction dans son travail, dans ses projets, une envie insatisfaite de dynamiser son entreprise, ou sa vie, d’arrêter la procrastination, peuvent changer ses ressentis .
 
Alors avant de laisser les événements prendre le pas et faire que l’on subit sa vie; un professionnel de l’accompagnement peut intervenir, sans tarder et ne pas laisser passer le temps.
 
Pour que la relation d’aide s’installe, le client doit en avoir envie, être motivé, doit s’engager et avoir confiance en son coach. Le processus est basé sur un contrat qui le décrit et commence toujours par une séance préalable durant laquelle est présenté le processus et son contexte et où l’on partage la demande initiale.

 

Alors un processus se passe comment ?

Un certain nombre de séances est donc prévu. Le coach questionne son client afin de l’amener à explorer le contexte, à clarifier sa demande et déterminer son plan d’actions. Le coach n’influence pas son client, il reste neutre en toute circonstance, et ne propose ni conseils, ni thérapie.
 
C’est avant tout une relation d’aide authentique, respectueuse et bienveillante, qui permet au client de se renforcer, de prendre ses décisions en pleine conscience, de développer son autonomie dans tous les aspects de sa vie. Le coaché perçoit donc différemment le monde qui l’entoure, il apprend de manière différente dans la réalisation de ses actions qui se doivent d’être précises et spécifiques, atteignables, ambitieuses et cadrées dans le temps.
 
Il peut potentiellement vivre ses rêves.

Le coach n’influence pas son client, il reste neutre en toute circonstance, et ne propose ni conseils, ni thérapie.
Le travail n’est qu’au bénéfice exclusif du client.

Mais qui peut coacher ?

Le coaching fait appel à des aptitudes personnelles, que le coach a naturellement ou qu’il acquière par apprentissage, ou formation. Dans tous les cas, le coach s’appuie sur de solides connaissances en sciences humaines, il utilise des méthodes et outils éprouvés.
 
N’hésitez pas à vous renseigner pour connaître sa formation et évaluer le sérieux et le professionnalisme de celle-ci. Il existe quelques centres de formation en France qui dispensent des enseignements certifiants reconnus par l’état inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (dites RNCP niveau I ou II). Ce sont des gages de sérieux, et d’engagement personnel pour un nouveau métier qui se doit d’être pratiqué rigoureusement et professionnellement.
 
De nombreux praticiens certifiés, sont aussi adhérents à des organismes défendant et diffusant une déontologie bien précise. Dans ce registre vous trouverez des organismes comme l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council), ou encore la SFCoach (Société Française de Coaching) qui défendent et promeuvent un coaching déontologique, professionnel et encadré par des certifications.
 
Sans garantir toutefois la qualité du travail d’un coach certifié, reconnu par l’état et adhérent à un organisme déontologique, sa démarche est déjà un signe d’engagement et une présomption d’une prestation de qualité.
 

Dans ce contexte, afin de limiter les interruptions en cours de processus, votre choix doit pouvoir se porter sur un professionnel avec lequel vous vous sentez à l’aise rapidement. Le premier rencontré peut être le bon mais pas toujours. Il existe des annuaires de coachs certifiés auprès des organismes cités plus haut.

Vous voulez en savoir plus ? N’hésitez pas!